Les effets de l’immigration

Anonyme


Récemment, le Québec et le Canada au complet se sont confrontés à un nouveau problème lié au nombre extraordinaire de demandeurs d’asile provenant de pays moins développés. Ces migrants sont présentement acceptés dans le pays, mais au détriment des citoyens. De plus, la situation sociale et économique de la province n’a pas vu de grandes améliorations. C’est la raison pour laquelle nous croyons que le gouvernement devrait restreindre le nombre de migrants qu’il laisse s’installer au Québec.

Tout d’abord, l’arrivée des immigrants ajoute aux problèmes qui existent déjà dans notre province. Un des problèmes lié à l’arrivée des immigrants et des demandeurs d’asile est qu’il n’y a pas d’espace dans la province.  Les métropoles du Québec sont déjà remplies à pleine capacité et la grande vague des arrivées épuise les fonds publics. La sécurité économique de la province excède en importance notre « responsabilité » à être généreux et à aider ceux qui en ont besoin.

En plus, les immigrants du tiers monde abaissent le niveau de vie des Québécois sur un plan économique et causent une augmentation du taux de chômage. Ils ont de la difficulté à trouver des emplois, alors ils ne contribuent pas au développement de la province. À cause de leurs grandes familles et de la difficulté qu’ils ont à trouver des emplois et à s’héberger, leurs arrivées ont des conséquences négatives sur le Québec et sur ses habitants.  Le Québec devrait donc continuer à aider ceux qui entrent légalement, mais pas ceux qui ne peuvent pas contribuer à l’économie.  Cependant, la sécurité et le bien-être des Québécois devraient toujours être la priorité du gouvernement. Ainsi, nous ne devrions pas mettre les besoins des Québécois de côté.

En somme, vous pouvez voir que les migrants sont une charge très lourde pour le gouvernement et mettent une immense pression sur nos services sociaux. La province n’a pas d’espace pour les supporter, ils abaissent le niveau de vie et ils contribuent à la hausse  du taux de chômage. Espérons qu’il y aura d’autres provinces ou d’autres pays qui viendront à leur aide.