Des changements irréversiblespar
Bryanna Bragagnolo et Andrea Tullo On vit à une époque marquée par des changements importants, dont des avancements dans les secteurs technologiques et médicaux. On voit aussi, de nos jours, le développement de plusieurs entreprises et de leurs usines respectives. On est devenu une société de consommateurs et d'innovateurs, et on ne prête plus attention aux conséquences de nos actions. Avec toutes nos entreprises, nos usines, nos technologies et nos activités quotidiennes, nous polluons notre planète, ce qui cause des enjeux environnementaux qui nous affectent même aujourd`hui. Ne pensez-vous pas, chers lecteurs et lectrices, que cela cause des problèmes? Dans cette optique, on doit se demander si nos enfants vont pouvoir vivre sainement et s'épanouir sur notre planète. Selon nous, sans un effort collectif pour réduire notre empreinte environnementale, la réponse est indéniablement non. Premièrement, on détruit nos écosystèmes et les ressources de la planète qui nous donnent la vie. Savez-vous que les oiseaux, les mammifères et les amphibiens sont parmi les groupes d’animaux sur la liste de ceux qui s'approchent de l’extinction? Ceci est le résultat de la perte de leurs habitats à cause de nos activités égoïstes comme l'agriculture intensive et l'extraction minière. Si on écrase constamment les maisons de ces créatures, comment peuvent-elles survivre? Il faut réaliser que cela se passe sans qu’on réagisse. On doit donc constater que la perte de la biodiversité est imminente. Réfléchissez aussi au fait que ces activités provoquent également l’épuisement des sols. En plus de notre écosystème défaillant, il y a seulement 25%(1) des sols qui sont exempts d'activités humaines mondialement et il est estimé qu’il n’y aura plus que 10% de terres non-touchées par nos mains d’ici 2050. Épouvantable! On voit aussi une perte forestière importante, car on a perdu 920 000 km² de nos forêts entre 2000 et 2014 (2). Cela veut dire qu’en quelques années, il n’y aura pas assez d’arbres pour répondre à nos besoins de produits forestiers ni de sols fertiles pour pratiquer l’agriculture. Pensez-y: serait-on capable de s’épanouir sur une planète dépourvue des ressources dont on est devenu dépendant? En résumé, nos enfants ne pourront pas vivre sur notre planète, car il y manquera les ressources et la biodiversité dont on a besoin pour vivre confortablement. Deuxièmement, nos actions nuisent à notre sécurité. La perte de nos forêts entraîne la dégradation des sols, ce qui cause, entre autres, l'acidification des océans et la contamination de nos sources d`eau douce. Par conséquent, les générations futures vont être affectées, car la quantité d'eau qu’elles pourront consommer en toute sécurité diminuera substantiellement. Ne croyez-vous pas que cela est une situation pénible? De plus, nos activités causent le réchauffement de notre planète. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) prévoit une hausse de 3°C (3) à l’échelle mondiale d’ici 2100. Cela entraînera la fonte accélérée des glaciers, ce qui fait qu’il y aura une hausse du niveau des océans et des autres masses d’eau. Par conséquent, on prévoit que le Québec sera submergé par le Saint-Laurent. Quelle horreur! N’ignorez pas que ce réchauffement climatique entraîne déjà, malheureusement même pour nous, de nombreuses catastrophes naturelles de plus en plus graves. Elles causent la destruction des territoires ainsi que des pertes de vies humaines considérables, ce qui crée un environnement dangereux. Bref, nos enfants ne seront pas capables de vivre sainement sur notre planète parce qu’on déstabilise notre environnement. La dégradation des sols amène la contamination des sources d’eau, ce qui menace la santé des êtres-humains, tandis que le réchauffement climatique apporte des phénomènes météorologiques inhabituels, voire désastreux. Il faut reconnaître, chers lecteurs, que nos enfants ne peuvent pas vivre sur une planète qui menace leur sécurité. En résumé, on doit constater que nos enfants ne pourront pas vivre sainement et s'épanouir sur notre planète, car on détruit les ressources dont ils auront besoin pour survivre. De plus, en observant la contamination de l'eau potable ainsi que le nombre croissant de catastrophes naturelles, il est impossible d'ignorer le fait que notre sécurité est menacée par ces changements périlleux, voire irréversibles. Il est primordial que vous réalisiez, chers lecteurs, que la gravité de notre situation environnementale ne fera que s’aggraver avec le temps. Ce n'est pas un hasard si le Pape François a déclaré: «Le changement climatique constitue l’un des principaux défis actuels pour l'humanité.» 1- Catherine Hours, «La terre a perdu 60% de ses animaux sauvages en 44 ans», Agence France-Presse. 2- Ibid. 3- Anne Caroline Desplanques, «Le Saint-Laurent submergera Québec si le mercure grimpe», TVA Nouvelles.
0 Comments
par
Gabrielle Calabrese et Chiara Perez-Vincelli Nous sommes vraiment gâtés. Notre planète nous a toujours offert ses ressources, que ce soit l'or bleu à sa surface ou le pétrole provenant de ses profondeurs. Par contre, il semblerait que nous avons sérieusement consommé une énorme quantité de ses ressources à un tel point qu'on doute même que les prochaines générations pourront mener une vie prospère comme nous le faisons aujourd’hui. N’est-il pas assez clair que, malgré nos efforts pour préserver l’environnement, nos enfants hériteront tout de même d’une planète épuisée? À cause des conséquences de notre exploitation de ressources naturelles et du changement climatique, les générations futures ne pourront pas vivre sainement ni s’épanouir sur notre planète. En premier lieu, notre surconsommation de ressources naturelles fait en sorte que nos enfants en manqueront. Effectivement, les conséquences de notre exploitation sont déjà visibles. Nous avons rendu nos sols presque infertiles. L’agriculture intensive, la déforestation et l’urbanisation ont tous contribué à l’érosion de la terre. À cause de ces sols inféconds, les rendements agricoles ont visiblement diminué. Par exemple, on note en France une baisse des récoltes de blé. Imaginez alors l’état pénible des sols et des rendements lorsque la population mondiale aura doublé. Comme il y aura des bouches à nourrir et peu pour toutes les combler! Pensez aussi à nos océans. Nous avons consommé beaucoup trop des créatures de Neptune et, en conséquence, nous ne pouvons pas pêcher autant qu’avant. En effet, nous avons pêché six milliards de tonnes de produits de la mer jusqu’à maintenant.(1) N’est-ce pas étonnant? De plus, il est estimé qu’une hausse de température de 1,5℃ causée par la combustion de carburants entraînera une perte de 1,5 millions de tonnes d’espèces marines.(2) Pourrons-nous freiner notre consommation afin d’assurer un futur prospère pour nos enfants? Si nous nous fions à l’insuffisance de nos efforts actuels, la réponse est non. En deuxième lieu, le rapport du groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a mis en perspective les conséquences négatives pour les générations futures si la température mondiale montait de 3℃. (3) N’ignorez pas leurs avertissements. Les changements climatiques apportent une déstabilisation des calottes polaires qui change les niveau des océans. Ce petit incrément de la température de 1.5℃ à 2℃(4) augmentera la vitesse à laquelle les masses de glace polaire fondront. Par conséquent, 32 à 80 millions (5) de personnes sur la terre souffriront, car elles n’auront plus de maison. Quelle horreur! De plus, les changements climatiques pourraient être la cause des extinctions d’animaux. L’augmentation du niveau des eaux rendra les animaux sans abri. Chers lecteurs, comment pourra-t-on nourrir nos enfants, si on a déjà perdu 60%6 de nos animaux sauvages? À vrai dire, la vie sera vraiment difficile d’ici la fin du siècle. Bref, les changements climatiques sont les causes de pertes des habitats et de l’engloutissement de nos villes. En somme, à cause de nos pratiques dévastatrices, les générations futures n’auront pas des conditions de vie aussi favorables que les nôtres. Cette affirmation est justifiée à cause de l’exploitation excessive des ressources naturelles de la planète et du changement climatique causé par l’homme. L’élimination d’habitudes destructives sur le niveau global débute par la suppression du mauvais penchant de l’individu pour l’excès.
par
Elisia Alfano et Carl Le Breux Depuis plusieurs années, nous négligeons la sévérité de nos empreintes négatives sur l’environnement. Depuis la Révolution Industrielle, nous produisons une immense quantité de polluants dans notre atmosphère. Plusieurs experts intergouvernementaux sur l'évolution du climat se demandent même s’il est trop tard pour agir. Les récentes craintes provoquent de multiples réactions et discussions qui nous amènent à nous poser la question suivante: <<Nos enfants pourront-ils vivre sainement et s'épanouir sur notre planète?>>. Alors que le temps presse, le monde entier est prêt à changer ses comportements nuisibles pour l'environnement afin d’éviter les dégâts irréversibles que les experts prédisent. De plus, avec nos nouvelles technologies, nous dirions que oui, nos enfants pourront vivre d’une manière saine. Tous ensemble, nous sommes d'avis que nous sommes aptes à réaliser des choses extraordinaires. Tout d’abord, le public semble s'inquiéter de plus en plus des méfaits que nos empreintes causent maintenant et causeront dans quelques années si rien ne change. Selon l’article «400 personnalités québécoises lancent un «Pacte» pour lutter contre les changements climatiques» écrit par Alexandre Shields, le Québec est prêt à faire des modifications afin de respecter l’Accord de Paris sur le climat signé par 195 États. Dominic Champagne, l’instigateur de «Pacte pour la transition» a décidé de prendre les devants afin de presser le gouvernement à améliorer ses politiques pour qu’on puisse réduire notre empreinte environnementale. Supportons- le dans ses tentatives vertueuses. De plus, l’article mentionné précédemment montre que les efforts de Champagne ne passent pas inaperçus puisque 400 personnalités québécoises ont déjà signé le«Pacte» dont Jannette Bertrand et Guillaume Lemay-Thivierge. Avec le support de ces célébrités, ne seriez-vous pas de l’avis que le public sera beaucoup plus porté à exécuter les changements nécessaires? D’ailleurs, Dominic Champagne n’est pas le seul à vouloir agir. Conformément à l’article «Une entreprise de la C.-B. extrait le CO₂ de l’air pour produire du carburant» écrit par Bob Weber, la compagnie Carbon Engineering retire le CO₂ dans l’air afin de produire du carburant en exécutant une «capture d’air directe». Ce qui distingue Carbon Engineering, c’est qu’elle produit ce carburant pour moins d’un tiers des coûts de toutes les autres compagnies. Comme c’est remarquable! D’ici deux ans, la compagnie espère pouvoir élargir sa production afin de contribuer à rendre notre planète plus saine pour les générations futures. Grosso modo, ce sont des personnes dévouées comme Dominic Champagne et des compagnies révolutionnaires comme Carbon Engineering qui nous donnent l’espoir de croire que nos enfants auront l’opportunité de vivre sur une planète saine. Ensuite, il est évident que la technologie a évolué énormément depuis le début de son existence. Si l'une des causes du réchauffement climatique est la grande quantité de gaz à effet de serre (GES) qui sont présents dans l’atmosphère La pollution des océans représente également un grave problème. Bonne nouvelle, ce problème a également une solution, car notre nouvelle technologie nous permet aussi de limiter cette pollution. Selon un nouveau projet, «Ocean Cleanup», Boyan Slat, un jeune homme, a lancé une idée pour nettoyer les océans. Son idée est de placer des barrières flottantes dans le vortex de déchets du Pacifique Nord afin de ramasser tous les déchets qui sont présents dans l’eau. Pour aider ce jeune homme, c’est assez simple: ne polluez pas l’océan. Alors, si la technologie est à notre disposition, pourquoi ne pas l’utiliser pour améliorer la santé de notre planète et pour assurer le futur de nos enfants? En somme, grâce à l’évolution de la technologie, nous sommes capables de changer nos habitudes afin d’améliorer la santé de notre planète. Avec ces nouvelles méthodes, on espère pouvoir faire du monde un meilleur endroit où vivre. Chers lecteurs et lectrices, il est évident qu’il est de notre responsabilité d’aider l’environnement pour que nos enfants puissent avoir une planète saine. Regardez autour de vous. Il est temps de réagir et de faire quelque chose pour assurer cela. Qu’en pensez-vous? Bref, le futur et la santé de nos enfants ne semblent pas être en jeux puisque la surprenante conviction de nos citoyens et les divers avancements technologiques incontournables continuent de nous prouver que nos enfants auront la chance de s'épanouir sur notre planète. Sur le plan sociale, plusieurs individus dont Dominic Champagne tentent de rallier le public avec l’aide du quatrième pouvoir afin qu’on puisse tous ensemble faire les démarches nécessaires. D’autre part, grâce aux technologies innovatives comme «Ocean Cleanup» et Carbon Engineering, nos océans seront nettoyés et les émissions de GES réduites. Tout bien considéré, il serait donc absurde de croire que nos enfants seront en danger si nous continuons à faire le nécessaire tous ensemble. La vie est un voyage plein d’aventures immanquables et leur destin repose désormais entre nos mains. Alors, êtes-vous prêts à agir? par
Loic Lefebvre Sauvé et Lisa Nguyen Recycler et composter sont deux mots que nous entendons depuis l’école primaire. Ce sont des tactiques utilisées pour amener notre génération et la génération future à diminuer la pollution que nous créons. Sans ces tactiques, la planète risque de devenir polluée à un tel point qu'il sera impossible d’y vivre. Et si la pollution sur la Terre continue, il risque de n’y avoir aucun enfant à qui enseigner la leçon sur le recyclage et le compostage. Malheureusement, la vitesse à laquelle nous polluons devient de plus en plus dramatique. Malgré tout, est-il vraiment trop tard pour effectuer un changement? Nos enfants pourront-ils vivre sainement et s’épanouir sur notre planѐte? Selon nous, il est possible de rendre cette planѐte habitable pour nos enfants si nous si nous commençons à prendre des initiatives pour prendre soin de l'environnement. Tout d'abord, il existe aujourd'hui une multitude de moyens pour régulariser le réchauffement climatique: encourager le covoiturage, réduire notre consommation de viande, utiliser moins de produits en plastique ou en métal lourd, etc. À notre avis, ces méthodes d'ajustement sont toutes pratiques et nous pouvons tous les intégrer dans nos vies. Imaginez un monde où tout le monde travaille ensemble, comme dans une ruche d’abeille, pour créer un meilleur univers pour les générations futures. En effet, plusieurs entreprises commerciales commencent déjà à prendre des initiatives vertes. Par exemple, il existe une compagnie en Colombie-Britannique qui a développé une nouvelle technologie qui extrait le CO2 de l’air et qui le transforme en carburant pour les voitures (1). Ne voyons-nous pas comment il est technologiquement, humainement et économiquement possible de réduire notre empreinte humaine? Rien ne semble vouloir nous arrêter de faire ces gestes pour transformer l’environnement. De plus, avec toutes les ressources qui sont disponibles aujourd’hui, l,avenir dépend de chacun d'entre nous individuellement. Par ailleurs, il existe la volonté collective aussi. Un «Pacte» pour réduire l’empreinte humaine a été récemment signés par 14 000 citoyens québécois (2). Quelle bonne idée! Imaginez si tout le monde prend la même initiative. On croit que c’est possible. De nombreux citoyens mettent de la pression sur les décideurs politiques pour qu'ils commencent à agir. Par exemple, le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a publié un rapport présentant toutes les informations nécessaires pour combattre le réchauffement de notre planète. Plusieurs d’entre nous commençons à effectuer un changement, ce qui nous donne la possibilité d’avoir un futur sain et sécuritaire pour nos enfants. Chers lecteurs et lectrices, Il n'est pas trop tard pour renverser les effets dramatiques sur l’environnement? Deuxièmement, pour des raisons environnementales, on croit que notre planète peut toujours être habitable pour les générations futures. Non seulement avons-nous créé des machines pour réduire les polluants atmosphériques, mais aussi notre planète n’a pas encore passé le point du non-retour. En effet, la fameuse machine fabriquée en Colombie-Britannique est monumentale puisqu’elle est capable d’enlever jusqu’à une tonne de CO2 par jour, le gaz le plus polluant dans notre atmosphère. Incroyable! Cette nouvelle technologie est importante pour s’assurer que l’environnement sur la Terre ne devienne pas comme l’installation d’art <<Unmoored>> de Mel Chin. Ceci pourrait nous aider à diminuer les gaz à effet de serre que nous produisons à un rythme rapide et à améliorer la santé de notre écosystème. Le carburant que cette machine produit est 50% moins polluant que le pétrole.(3) Quelle innovation! Cette source d'énergie pourrait permettre à notre environnement de s’en remettre. De plus, notre planète terrestre pourrait se revitaliser dans le futur. N’est-elle pas en train de mourir à cause de notre pollution? Oui...mais nous disposons, encore, d’une marge de manoeuvre pour faire évoluer les choses dans le bon sens. Cette petite marge de temps semble ne pas être prise à la légère puisque des accords, comme l’accord de Paris ou l’Accord Canada - États-Unis sur la qualité de l’air, sont signés par plusieurs pays dans le but de diminuer leur gaz à effet de serre.(4) Par ailleurs, on semble plus conscient de nos actions sur l’environnement et on fait plus attention à notre écosystème. Cette conscience est-elle assez pour sauver notre planète? Selon nous, oui puisque cette conscience et ces traités environnementaux montrent qu’il y a un intérêt pour sauver notre milieu naturel. N'oubliez pas que même malgré le réchauffement climatique, il est toujours possible de sauver la planète pour les générations futures. En conclusion, il est évident que nos enfants pourront vivre sur notre planète, grâce à des machines développées pour diminuer notre pollution atmosphérique et à des engagements plus verts qui régularisent le réchauffement de notre planète. De plus, des accords à l'échelle mondiale sur les changements climatiques nous aident à préserver cette planète pour les générations futures. À notre avis, il est absolument possible pour nos enfants d'hériter d’une planète en santé puisque nous possédons la technologie et le plus important, nous possédons la volonté humaine pour préserver notre trésor bleu et vert. Bref, nous souhaitons que les questions posées sur les dangers du réchauffement climatique pour notre planète nous fassent réviser aussi les dangers de la guerre nucléaire probable pour notre planète.
par
Giordano Mandato et Michael Minello Pendant des décennies, notre monde a connu la guerre. Nos grands-parents se sont battus contre d'autres pays menaçants pour assurer notre liberté. Il semble que nous ne connaissons que la destruction. Nous pensons qu’il n’y a plus de guerre qui nous concerne, mais ne réalisons-nous pas le fait que le conflit moderne peut nous mener à la plus grande guerre mondiale? Cette guerre, toutefois, ne sera pas de celles qui opposera les pays entre eux comme cela a toujours été. Non... Cette fois-ci, les belligérants devront mettre leurs armes de côté et faire un front commun parce que la coopération de tous les pays du monde sera primordiale pour gagner la bataille: la guerre pour sauver la planète. Est-ce que vous êtes au courant qu’il y a une guerre contre les changements climatiques? «Le jour du dépassement avance»(1) et l'humanité doit agir. Alors, chers citoyens de la Terre, ne croyez-vous pas qu'il est temps de passer de la parole aux actes? Disons oui. Malheureusement, plusieurs gouvernements croient que prendre le virage vert est trop coûteux, mais cela n'est pas le cas. Avec les efforts de Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) et en utilisant de nouvelles technologies à grande échelle, nos enfants, et nous en sommes convaincus, pourront vivre sainement et s'épanouir sur notre belle planète. En premier lieu, les effets des changements climatiques ne sont plus des sujets inconnus pour la population. Heureusement, tous ne sont pas du même avis que le Président Trump qui affirme que le réchauffement climatique n’existe pas. En effet, un grand nombre de personnes déploient de multiples efforts afin de trouver une solution à ce problème menaçant. Le GIEC est responsable d’informer la population de tous les effets désastreux associés aux changements climatiques. Savez-vous ce qui se passe actuellement? Les vagues de chaleur, l'extinction d'espèces et la déstabilisation des calottes polaires (2) sont toutes des menaces qui nous affectent maintenant. Incroyable! Ce danger a inspiré 400 personnalités à signer le «Pacte pour la transition»(3) Ce pacte, décrit par Alexander Shields du journal Le Devoir, est une «initiative pour inciter des citoyens à réduire leur empreinte environnementale» (4). Entres autres, ce pacte souligne qu’il faut encourager le covoiturage et le transport actif parce que le transport est responsable de plus de 40% de la pollution atmosphérique. Le pacte a reçu 14 000 signatures, à la fin de la journée. Quel nombre! Enfin, le désir de la population de trouver une solution à ces changements se manifeste. Il faut continuer à exprimer notre avis. Si les gouvernements, qui semblent toujours avoir faim de richesse, écoutent les demandes de ces activistes, ils pourront investir plus d’argent dans les entreprises comme Carbon Engineering, qui trouvent des solutions efficaces pour le réchauffement climatique. Grâce aux efforts montrés par la population, on peut encore offrir une planète saine pour les générations futures. N’attendez pas pour agir. En deuxième lieu, pour éviter le naufrage climatique de notre planète, il faut éliminer le dioxyde de carbone dans notre atmosphère. Une entreprise de la Colombie-Britannique est en plein processus de perfectionner une chimie unique. Cette nouvelle technologie permet d'extraire le dioxyde de carbone de l'atmosphère et de le transformer en carburant qui alimentera nos véhicules. Toutefois, cette industrie n'en est qu'à ses débuts. Il faut plancher sur ce projet. Si nous persistons à développer cette technologie, nous sommes optimistes quant à notre avenir. Qui plus est, cette source d'énergie devient de plus en plus accessible. Les entreprises s'affairent à abaisser le prix du carburant afin de le rendre accessible pour tout le monde. De plus, cette technologie permettrait à n'importe quel pays de n'importe quelle région du monde entier d'avoir son propre carburant. On n’aura plus à attendre que l’or noir soit extrait de nos océans. Le tout sera bénéfique pour l'environnement et, voici la bonne nouvelle, abordable en plus! Bref, il est primordial qu'on garde notre responsabilité comme citoyens de la Terre. Développer cette technologie à grande échelle est une des premières étapes pour sauver notre planète. Pour conclure, il est primordial que nous saisissions notre dernière opportunité de sauver la Terre. Nous sommes tous des citoyens de la Terre et nous sommes tous responsables d'assurer sa prospérité. Grâce aux efforts de plusieurs organisations, notamment le GIEC, et le développement de technologies bénéfiques pour l'environnement, nous sommes fort convaincus que nos enfants pourront vivre sainement et s'épanouir sur notre planète. Il semble que de nos jours, prendre le virage vert devienne le cheval de bataille de nombreux politiciens. Toutefois, notre futur est un grand point d'interrogation. Qui sait, peut-être qu'un jour nous vivrons sur Mars et nous n’aurons plus de problèmes terrestres.
par
Daniel Abboud et Matias Alarcon Tous les parents s'inquiètent du futur de leurs enfants. Ils s’assurent de leur offrir une éducation de qualité, une bonne maison, des influences positives et bien plus. Par contre, il semble que l’on ait oublié un aspect essentiel : leur planète. Ne pensez pas que notre planète est un caillou indestructible; elle vit et nous devons en prendre soin. Malheureusement, elle est aussi en piètre état et la situation, paraît-il, ne s'améliore pas. Par ailleurs, les territoires côtiers subissent les pires conséquences: la ville de Québec serait submergée d’ici 2100. Alors, chers internautes, nos enfants ont-ils un avenir sur la Terre ? En raison du niveau de carbone très élevé dans l'atmosphère et des énormes pertes de biodiversité, il est évidemment trop tard pour notre progéniture. Primo, les conséquences irréparables dont nous sommes responsables démontrent que la situation ne fera qu’empirer. Le nouveau rapport publié par l’ONU prédit que si la tendance se maintient, la température mondiale augmentera de 1,5°C. Cela pourrait enchaîner des répercussions majeures pour tout le monde vivant sur notre précieuse planète. On estime que 14 % de la population mondiale sera affectée par la chaleur extrême si le mercure grimpe de 1,5°C. Ce nombre grimpera à 37 % si la température monte de 2,0°C (1). De plus, il semble que l’on dépassera nos prédictions et qu’il faudra réellement réduire nos émission de 70 % d’ici 2050 afin de rester sous le 2,0°C ou bien de 95 % pour ne pas dépasser 1,5°C, d'après un article d’Alexandre Shields du journal Le Devoir. N'est-ce pas incroyable ? Croyez-vous vraiment que ces objectifs de réduire les émissions soient raisonnables ? Dans la belle province, on estime qu’au cours des 50 prochaines années, le gouvernement québécois devra investir 1,5 milliards en infrastructures routières afin de réparer les dégâts causés par les changements climatiques2. Quelle dépense absurde! Ceci est le prix que nous payerons pour notre ignorance hélas. Enfin, il est évident que nos enfants ont du boulot à faire afin d’être capables de simplement vivre sur notre planète. Cessez vos fantaisies, nous devons l'accepter; il est sans doute trop tard pour eux. Secundo, la biodiversité est essentielle à la survie des plantes et des animaux ainsi qu'à la nôtre. Elle nous fournit la nourriture, l’eau, l’air et les médicaments dont nous avons besoin pour survivre. Malheureusement, la biodiversité est en déclin partout sur Terre dû au fait que les humains prennent trop et redonnent peu. Saviez-vous que cette dernière a perdu plus de 60 % de ses animaux sauvages depuis 1970? (3) Comme nous sommes ignobles ! À mesure que le mercure grimpe, ces énormes pertes se multiplient, puis affectent tous ceux et celles qui habitent notre planète. De surcroît, comme nous le savons, le Canada, un pays dont l'économie repose sur l’exploitation de matières premières, ne prend pas suffisaments d’actions pour protéger notre environnement. (4) Pourquoi n’avons nous pas encore changé nos habitudes quoique les conséquences nous soient déjà apparentes ? Quelle désinvolture envers les futures générations ! Ultimo, notre négligence envers l’environnement sera indéniablement l'avènement d’une grande souffrance qui empêchera l’épanouissement de nos enfants sur cette planète. La crise climatique causée par les émissions de gaz à effet de serre et les énormes ravages sur la biodiversité mondiale ne fait que s’aggraver, à mesure que le temps passe. Chers lecteurs, arrêtons-nous un instant pour nous poser la question suivante: comment les parents peuvent-ils réellement s’inquiéter du futur de leurs enfants alors qu’ils leur laissent une Terre inhospitalière ? par
Simona Scozzari et Carl Le Breux Imaginez avoir à dire à votre enfant qu’il devra changer d'école et quitter ses amis dû au fait que vous ne possédez plus les moyens pour couvrir ses frais d'école, lui qui était inscrit au privé. Ceci est une situation à laquelle aucun enfant ni parent ne devraient avoir à faire face. Les 10 députés à l'Assemblée de Québec solidaire proposent d’enlever les subventions des écoles privées. Alors que ceux qui sont au pouvoir ne le souhaitent pas. Ceci nous incite à nous poser la question suivante: « Devons-nous continuer à subventionner les écoles privées?» Dû à de nombreux faits économiques et historiques en lien avec les subventions accordées aux écoles privées, nous sommes de l'avis que les subventions offertes aux écoles privées sont bénéfiques pour l’État et pour la société. Croyez-vous vraiment que le fait d’arrêter de subventionner des écoles privées sauvera réellement des billets verts au gouvernement? J’espère que votre réponse est non car, bien au contraire, les écoles privées constituent une aubaine pour le gouvernement. En effet, ces écoles n’utilisent qu’un mince 4.5% du budget réservé à l'éducation. (Vidéo: Pourquoi financer l'école privée?) Tout d’abord, la réalité, c’est qu’en arrêtant de subventionner les écoles privées, plusieurs familles n’auront plus les moyens d’y envoyer leurs enfants. Par conséquent, ces élèves intégreront l'école publique où le gouvernement devra payer 100% de leur scolarité au lieu du maigre 38% qu’il payait lorsqu’ils étaient au privé. (Vidéo: Pourquoi financer l'école privée?) Comme ce serait un grand changement! Selon Jean-Marc St-Jacques, l'auteur de « Pourquoi il ne faut pas arrêter de subventionner les écoles privées? », couper les subventions coûterait 600 millions de plus annuellement. Bref, cette première promesse électorale de Gabriel Nadeau-Dubois, le député de Québec solidaire, est plutôt embêtante dû aux statistiques incontournables mentionnées précédemment. Alors, chers lecteurs et lectrices de FLEcture, pensez-vous encore qu’abolir les subventions aux écoles privées vous serait bénéfique? La réponse est toujours tout simplement non. Grosso modo, les subventions aux écoles privées représentent une solution à la crise des finances publiques, un problème inéluctable au Québec à cette heure. En deuxième lieu, les écoles privées, datant des années 60, ont pour la plupart une histoire qui les accompagne. D’ailleurs, l’État devrait continuer à subventionner les écoles privées afin de garder l'héritage de ces patrimoines québécois. Auparavant, l'éducation était donnée par le clergé, ce qui implique que ces établissements possèdent plusieurs symboles qui représentent notre communauté religieuse catholique. Si l'État veut conserver ses symboles et cet héritage, il devra acheter ces établissements. Par conséquent, les sommes d’argent que l’État devra débourser augmenteront substantiellement. Ne pensez-vous pas que l’État n’a guère les fonds nécessaires pour faire cet investissement majeur? S’il continue à subventionner les écoles privées, l’État aura une influence sur les changements physiques qui sont faits à chacun de ces établissements. Ainsi, l’État pourra refuser tous les travaux proposés s’il est de l’avis que l'héritage est en danger. Dans le même ordre d'idées, la fermeture forcée de ces écoles serait certainement la cause de plusieurs parents mécontents. En fait, le sondage exécuté par CROP en 2014 démontre que 99% des parents sont satisfaits de l'éducation de leurs enfants au privé. Ce qui n’est certainement pas le cas à l'école publique. En somme, les subventions accordées aux écoles privées nous ont prouvé leur valeur et leur bénéfices sur les plans économiques et historiques. Sur le plan économique, éliminer les subventions coûterait plutôt cher au gouvernement qui ne possède pas les moyens pour cette augmentation majeure à cette heure. D’autre part, les subventions garderont l’héritage des bâtiments de la ville, héritage important pour les Montréalais. Cela nous amène à conclure que les subventions des écoles privées sont lucratives et profitables pour le gouvernement. Ainsi, il serait absurde de penser autrement. Ne gardez pas vos mains dans vos poches. Aidons notre génération future à atteindre ses accomplissements les plus désirables. par
Mia Dimatteo et Bryanna Bragagnolo Avant la Révolution tranquille, l’éducation québécoise était gérée par l’église dans un système privé. Les années soixante ont apporté au Québec plusieurs changements dans le domaine de l’éducation, dont la création du Ministère de l’éducation et des commissions scolaires régionales. Ces changements faisaient partie d’un nouveau système d’éducation administré par l’État. Néanmoins, les écoles privées existent encore aujourd'hui, mais certaines sont subventionnées par le gouvernement. Plusieurs Québécois s’opposent à ces subventions en disant qu’elles créent des inégalités socio-économiques, tandis que d’autres croient que les subventions sont bénéfiques pour la société. Donc, on doit se demander si on devrait abolir les subventions aux écoles privées. Selon nous, la réponse est indéniablement non, pour des raisons économiques et sociales. Pour commencer, les subventions aux écoles privées ont un impact positif sur l’économie. Selon une vidéo de la Fédération des établissements d’enseignement privés (FEEP), on économise 800 millions de dollars par année grâce aux écoles subventionnées. Ces établissements privés sont les propriétaires de leurs bâtiments et ils s’occupent aussi de leur entretien. Si le gouvernement arrêtait de les subventionner, il aurait à acheter ces édifices pour accommoder tous les élèves qui se tourneraient vers le système public. Il aurait aussi à payer pour les entretenir. La FEEP estime que cela, entre autres, aurait un coût de 600 millions de dollars pour le gouvernement. Réfléchissez au fait que cet argent fait partie du budget consacré aux autres projets gouvernementaux, dont les programmes sociaux. Voulez-vous vraiment diminuer nos économies d’une telle somme? De plus, les subventions aident à stimuler notre économie. Les frais scolaires réduits font que l’éducation privée est accessible à plusieurs enfants. Comme ils ont un taux de réussite de 93.1% , on a plus d’étudiants avec des diplômes supérieurs qui fréquentent de bonnes universités et qui réussissent bien. Par conséquent, ils trouvent des emplois plus payants qui stimulent notre économie. Bref, les subventions aux écoles privées génèrent plus d’argent pour le gouvernement en lui permettant d’économiser 800 millions de dollars par année et en diplômant un grand nombre d’élèves qui ont du succès dans leur milieu de travail. Pour poursuivre, les écoles privées subventionnées offrent aussi des avantages pour les élèves. Plusieurs de ces institutions ont des programmes spécialisés, dont des programmes qui sont plus axés sur les arts ou sur les sports. Chers lecteurs, vous ne trouverez pas ces programmes dans les écoles publiques. Si on abolit les subventions aux écoles privées, les quelques élèves qui dépendent de ces programmes à cause de leurs talents exceptionnels ne vont plus pouvoir en profiter. De la même manière, les écoles privées offrent une approche éducative différente. On donne aux élèves plus d’attention, ce qui permet aux professeurs de pouvoir travailler avec chaque enfant individuellement. Les classes sont aussi beaucoup plus petites, alors les enseignants sont plus attentifs aux difficultés particulières de chaque élève. Donc, les élèves qui ont des problèmes d’apprentissage bénéficient notamment de cela. N’ignorez pas que le taux de réussite est très élevé dans les écoles privées, ce qui démontre que c’est un système véritablement efficace. Alors, en abolissant les subventions à ces établissements, on nuit à l’éducation de nos générations futures. Pourquoi ne voudriez-vous pas aider les élèves? En bref, les écoles privées subventionnées créent un cadre d’apprentissage plus sain qui facilite la vie de plusieurs étudiants et qui leur permet de développer leurs talents remarquables. Comme c’est favorable pour leur bien-être! En définitive, il est indéniable que les sommes d’argent allouées aux écoles privées sont bénéfiques pour notre société en général. En subventionnant les écoles privées, on leur permet de générer des profits pour notre gouvernement. Les subventions permettent aussi à ces institutions de fournir de l’aide aux enfants qui en ont besoin, ce qui facilite l’apprentissage. C’est impossible d’ignorer le fait que les écoles privées subventionnées font plus de bien que de mal, et on devrait soutenir les institutions qui vont être avantageuses pour nos enfants. 1 <<Québec solidaire veut abolir les subventions aux écoles privées>>, Martin Croteau, La Presse 2 <<La diplomation à Québec décortiquée>>,Martin Fortin, Le Devoir par
Alessia Manuele et Andrea Tullo La Fédération des Établissements d'Enseignement Privé (FEEP) travaille activement avec les écoles privées dans le but de les soutenir dans leur recherche d’excellence. Peu importe votre situation économique ou votre groupe social, les écoles privées offrent une éducation égale et uniforme à tous. Actuellement, le gouvernement accorde seulement 4.5%1 de son budget d’éducation à ces écoles annuellement. À cet égard, l’élimination des subventions causerait un état financier instable, même si plusieurs individus croient qu’elle aiderait l’État à économiser et à réduire les dettes. Pour ces raisons, couper les subventions n’est pas acceptable. Alors, nous prenons la position de défendre le financement gouvernemental qui aide astronomiquement à maintenir le secteur privé. Pour débuter, les écoles privées existent au Québec depuis les années 60. Saviez-vous qu’en 2016, il y avait 20% des élèves au Québec qui fréquentaient les écoles privées? Ceci représente environ 125 000 élèves.2 Quel grand nombre! Lecteurs et lectrices, certains croient que ces écoles encouragent l'élitisme et qu’elles n’acceptent pas d'élèves qui ont des troubles d’apprentissage. Par contre, cette croyance n’est pas tout à fait correcte. Les élèves ayant des difficultés et ceux provenant des milieux défavorisés égalent 40% du total des élèves dans le secteur privé. De plus, grâce à ces écoles, les jeunes et leurs parents ont la possibilité de choisir un établissement qui offre des programmes ajustés à l'intérêt de chacun, comme les programmes sports-études ou les programmes d’arts. Ceux-ci offrent une chance aux élèves de s'améliorer dans le domaine de leur choix tout en apprenant les mêmes choses dans les cours obligatoires. Alors, subventionnons les écoles privées, car cela continuera à donner un choix aux futures générations. Sans ces écoles, les possibilités pour certains élèves d’avoir une expérience scolaire agréable serait plutôt restreintes. Ensuite, saviez-vous que les écoles privées génèrent plus de 800 millions de dollars annuellement pour le gouvernement?3 De plus, le montant requis pour transférer tous les élèves du secteur privé au secteur public serait de plus de 600 millions de dollars4. Saviez-vous que cette dépense immense n’inclut pas la grande somme nécessaire pour acquérir et pour maintenir les bâtiments du secteur public? Alors, avec l’argent provenant du gouvernement, les montants déboursés par les parents pour l’école privée demeurent raisonnables pour plusieurs. Avec les subventions du gouvernement, le nombre d'élèves dans le secteur privé est capable de demeurer tel quel. Également, le Québec est la province qui possède le plus grand nombre d’élèves inscrits aux écoles privées au Canada, avec 125 mille étudiants5, ce qui représente 12.7%6 de la population de ceux qui fréquentent l’école. En bref, il semble évident qu’à l’état actuel, les subventions aux écoles privées aident plus qu’elles détruisent, tout en permettant au gouvernement d’épargner beaucoup plus d’argent. En fin de compte, il semble indéniable que les écoles privées sont à la merci des subventions attribuées par le gouvernement, car elles permettent de donner un choix à la population: un droit fondamental de la société. Aussi, sans le financement gouvernemental, les écoles privées ne seraient pas capables de maintenir leur niveau d’excellence. Donc, la poursuite des subventions est essentielle pour bien soutenir le secteur privé. Finalement, malgré le nombre d’individus qui croient fermement à l’abolition de leur soutien financier, les écoles privées offrent beaucoup plus qu’uniquement une éducation, elles offrent une chance de mettre les valeurs des parent en premier. Ainsi, en abolissant le financement du secteur privé, on enverrait le message à l’effet que les valeurs de ces parents ne sont plus valables. À force de vouloir que tous soient traités de façon égale, on en oublie nos différences et nos singularités. 1- Fédération des établissements d’enseignement privés (FEEP) <<Pourquoi financer l’école privée>> publication de la FEEP, 2 octobre 2014 2- Ianik Marcil, <<Le financement public des écoles privées, un frein à la croissance économique>>, Radio Canada, 19 mars 2018 3-Martin Croteaux, <<Québec solidaire veut abolir les subventions aux écoles privées>>, La Presse, 5 février 2014 par
Vanessa Balanca et Liana Brunetta L’assurance maladie, la société de transport et la société d’assurance automobile sont tous des services offerts par l’État aux citoyens québécois. Cette idéologie socialiste adoptée par notre gouvernement concerne notre système d’éducation aussi. Nous, les contribuables, savons qu’une partie de notre salaire est consacrée aux impôts, mais savons-nous ce que le gouvernement fait avec nos billets verts? Quarante pourcent[1] de notre argent finance les écoles privées. Alors, ne doit-on pas abolir ces subventions présentement mises en place par notre gouvernement? Certains croient que le financement des écoles privées est avantageux, par contre, nous croyons que ces subventions coûteuses nuisent à la croissance économique du Québec et qu’elles causent des conflits sociaux chez les élèves. Tout d’abord, les subventions des écoles privées devraient être abolies par le gouvernement du Québec à cause des effets négatifs qu’elles ont sur l’économie. En lisant, l’article «Québec solidaire veut abolir les subventions aux écoles privées», écrit par Martin Croteau, on peut apprendre que tous les Québécois paient des frais scolaires, mais que seulement des élèves au Québec fréquentent une école privée. Il existe des parents, comme les nôtres, qui contribuent au financement de ces établissements alors que leurs enfants ont étudié à l’école publique toute leur vie. De plus, l’État fournit des subventions alors que la majorité des élèves font partie du système public. Étudier à une école privée, c’est un choix. Les payeurs de taxes au Québec ne devraient pas sacrifier une partie de leur salaire pour payer les «choix coȗteux» des parents. Alors, d’après les statistiques présentées dans ces recherches, il semble évident que la province de Québec devrait mettre un arrêt au financement des établissements d’enseignement privés. Pour ajouter, les écoles privées concentrent la majorité de leurs ressources aux élèves favorisés. Souvent, la plupart de ces écoles n’acceptent pas les élèves avec des difficultés d’apprentissage. Ces élèves, par contre, ont besoin de plus d’attention et les écoles privées ne veulent pas dépenser de l’argent pour leur offrir les ressources nécessaires. Parfois, les jeunes doivent réussir un examen d’entrée pour pouvoir être acceptés dans ces écoles, ce qui sépare les élèves qui ont obtenu de bons résultats et ceux qui ont trop de difficulté. Savez-vous qu’à l’école privée on accepte seulement 2.7% àd’élèves avec difficulté, alors qu’à l’école publique, on accepte jusqu’à 20%[2] de ces élèves? Ceci crée des inégalités entre tous les élèves. Imaginez que votre enfant est en sixième année, qu’il consacre beaucoup d’efforts à ses études, qu’il s’inscrit à l’examen d’entrée d’une école privée, mais qu’il ne réussit pas. Il sera triste de ne pas avoir été accepté à son école de rêve. Comme parents, vous êtes déçus, et en plus, les écoles privées continuent à profiter d’une partie de votre salaire, même si votre enfant fréquente une école publique. Quel malheur! Alors, on doit réaliser que l’éducation est la priorité et non la réputation de l’école. On devrait permettre aux élèves avec difficulté d’obtenir de l’aide spécifique à leurs besoins. Si le gouvernement continue à financer les écoles privées, on encouragera la réputation élitiste de ces écoles. Enfin, il est indéniable que le gouvernement du Québec ne devrait plus financer les écoles privées, car les parents dépendent de notre gestion d’argent. Aussi, c’est incroyable qu’il y ait plusieurs élèves qui croient que s’ils n’étudient pas dans une école privée, ils seront désavantagés. C’est inévitable, nous devons payer des taxes ici au Québec, mais après avoir observé les recherches démontrées, on sait que notre argent finance un système d’éducation privé dont plusieurs ne pourront jamais bénéficier. À notre avis, il serait nécessaire d’intervenir, d’abolir les subventions aux écoles privées et d’utiliser cet argent pour améliorer les autres services publics, comme l’assurance maladie. Oui, une crise économique est possible, mais pensez aux élèves discriminés non seulement par le secteur privé, mais par nous-mȇmes si le gouvernement continue à prendre nos billets verts. [1] Marcil, Ianik. «Le financement public des écoles privées, un frein à la croissance économique», CBC News. [2] Lessard, Aleksandre. «Qu’en est-il du financement public des écoles privées?» |
AuthorLes élèves de Madame Quenneville, FLE V Archives
April 2019
|
|
Telephone514-374-1999
|
Visit our Contact Us page!
|
Follow US! |